Charlie Astörm présentation

●● Astörm Charlie ●●
« Here is the fruit for the crows to pluck
For the rain to gather
For the winf to suck
For the sun to rot
For the tree to drop
Here is a strange and bitter crop.
Billie Holiday»

► Nom et prénom : Astörm Charlie

► Age : 17 ans

► Sexe : féminin

►Nationalité : Française

► Pouvoir : Elle a le pouvoir de régénération. Cependant, la douleur qu'elle aurait du ressentir durant un temps de convalescence normal est concentré sur l'instant.

► Maladie mentale : Schizophrénie accompagnée parfois de troubles hallucinatoires.

► Camp : Elle fait partie d'une unité spéciale de l'armée européenne. Elle est principalement affectée aux missions d'assassinat et d'espionnage.

► Relations : Sa mère est morte lorsqu'elle était encore enfant, son père est un haut gradé de l'armée dont elle n'a plus aucune nouvelle depuis dix ans. Elle n'a aucun ami.

Description Physique

Blonde à la peau très pale, Charlie est petite pour son âge (à peine un mètre soixante) aussi arrive-t-il que les gens la croient plus jeune qu'elle ne l'est. Ses yeux noisettes sont la plupart du temps inexpressifs et lorsqu'en de rares occasion sa bouche esquisse l'ombre d'un sourire, ses yeux ne s'éclairent pas, son visage ne s'illumine pas, non. Il se contente de refléter son combat intérieur, le combat de sa vie. La tueuse en elle promet mille et une souffrances, l'enfant, elle, s'en excuse. Bien que très tôt disparu, le souvenir de la belle chevelure blonde de sa mère reste gravé dans sa mémoire. Aussi prend-t-elle un soin tout particulier des siens si semblables. Elle aimerait les laisser pousser jusqu'au bas de son dos. Elle possède une silhouette finement musclée à l'allure parfois féline. A la naissance de ses fesses, un tatouage représentant le nombre 13 en chiffre romain lui a été imposé lors de son entrée dans les forces spéciales. Elle en possède également deux autres sur l'épaule gauche (un soleil devant et une pleine lune derrière) en souvenir d'un événement majeur de sa vie.

Caractère

Étrange. Voila le premier mot qui vient à l'esprit lorsqu'on l'évoque. Elle semble toujours dans un monde à part. Si vous lui demandez ce qu'il en est vraiment, elle vous expliquera calmement que c'est parce qu’elle doit constamment surveiller Christie et Charlotte. Vous ne chercherez probablement pas plus loin et vous vous éloignerez conforté dans l'idée que cette fille n'a pas toute sa tête. Mais cela n'est pas tout à fait exact. Charlie possède bien toute sa tête. C'est juste qu'elle n'est pas la seule à y habiter. Tout d'abord il y a Charlotte. Elle, elle est gentille, peut-être parfois un peu simplette. C'est une trouillarde Charlotte. Le sang, les cris, enfin la violence quoi, ça lui fait peur. Alors, quand Papa lui a ordonné pour la première fois d'essayer de le frapper, elle est partie se recroqueviller dans un coin de la tête de Charlie. Heureusement, Christie était là. Charlie ne l'avait jamais entendu avant, mais elle l'a sentie prendre les commandes. Et pour attaquer Christie, c'est la meilleur. Depuis qu'elle est apparu, elle n'a pas arrêté de s'améliorer. Quand c'est elle qui prends les commandes, Charlie est méchante, agressive. Parfois, Charlotte veut reprendre les commandes et elles se disputent dans la tête de Charlie. C'est pour ça qu'elle semble souvent ailleurs. Charlie sait qu'à cause de Christie et Charlotte on la trouve bizarre, qu'elle est qualifiée d'instable. Ça l'embête. Elle, elle voudrais que Charlotte parte. Parce que les choses sont toujours plus simple avec Christie. Quand Charlotte est là, elle pleure souvent, elle devient lâche et Charlie ne peut plus travailler correctement. Alors que Christie, elle, elle est forte, elle aime tuer des gens et elle s'amuse beaucoup de ce travail. Pourtant, c'est Charlotte que les gens préfèrent, ça Charlie en est sure bien qu'elle ne comprenne pas trop pourquoi.

Histoire

Avant même de venir au monde Charlie était destinée à devenir un des meilleurs soldats que l'armée européenne ai jamais connue, son père en avait fait le serment. Quelle déception de constater que le robuste gaillard qu'il imaginait être son fils s’avéra être une jolie petite demoiselle. Mais le Colonel Astörm décida de ne finalement pas tenir compte du sexe de l'enfant. Dès qu'elle fut capable de marcher il projeta de l'envoyer dans un centre de formation pour les futurs soldats. Heureusement, sa femme s'y opposa fermement et il n'eut d'autre choix que de céder. Mais, loin de renoncer aux ambitions qu'il nourrissait pour sa progéniture, il lui fit suivre un entrainement drastique. Il constata très vite que sa fille semblait posséder un réel dont pour les sports de combat.
Charlie n'eut pas d'enfance à proprement parler. Lorsque sa mère disparut lors d'une mission d'espionnage derrière les lignes ennemis, elle n'avait que sept ans. Suite à cet événement, elle fut envoyée dans l'institue militaire où son père avait tenté de l'inscrire quelques années auparavant. Ce furent sans aucuns doutes les pires années de sa vie. Pour une raison qui ne lui fut dévoilée que quelques années plus tard, les militaires étaient assistés par des hommes en blouses blanches. Dès son arrivée elle fut soumise à des tests psychologiques, pour déterminer le secteur le plus approprié à la recevoir, lui avait déclaré l'homme qui était chargé de la surveiller. En attendant les résultats, elle fut placée dans une chambre blanche, sans aucune décoration.
Le lendemain elle retourna dans le bureau où elle avait passé ses tests la veille. On lui mit ses feuilles d'examens sous le nez lui demandant si elle avait tout écrit elle-même. Elle mis quelques instants à comprendre le but de la question. Devant elle, une jolie écriture toute en boucle et en finesse laissait quelques fois place à une écriture brouillon, impatiente, raturée. Les larmes lui virent aux yeux et pour la première fois elle parla de Charlotte et Christie, ses deux autres personnes qui partageaient sa tête. Les hommes en blanc furent très compréhensifs. Ils la consolèrent en lui disant que ce n'était pas grave, que c'était même une très bonne chose ce qui lui arrivait. Ils l'avaient alors emmené dans une autre aile du bâtiment et lui avaient montré sa nouvelle chambre à peine plus accueillante que celle où elle venait de passer la nuit. Elle avait fait l'erreur en arrivant au pensionnat militaire, de penser qu'elle pourrait se faire des amis. Erreur, durant les premiers mois, elle n'avait rien pu faire d'autre que de passer d'autres tests allant de simples questionnaires à des exercices physiques des plus éprouvants. Jour après jours, elle voyait la déception s'installer dans le regard des hommes en blancs. Finalement, on décida d'arrêter les tests et on l'envoya suivre les entraînements militaires des jeunes de son âge. Au vu de son niveau en combat rapproché elle fut déplacée dans le cours d'adolescents beaucoup plus âgés qu'elle. L'ambiance du pensionnat était tendus, les militaires tenant à faire régner une compétitivité constante entre les élèves.
L'année 2042 fut un tournant majeur dans sa vie. Elle avait été muté vers un autre établissement spécialisé dans une formation moins générale, plus centrée sur la formation des soldats de terrains. Elle y avait rapidement trouvé ses marques. Mais un mardi soir où tout était calme dans le réfectoire, un élève avait complètement péter les plombs. Elle l'avait déjà vu, il habitait la chambre voisine et il n'était pas rare qu'elle soit réveillée durant la nuit par de drôles de bruits venant de sa chambre. Enfin bref, il s'était soudainement levé de sa chaise et un des glocks qu'ils utilisaient lors des entraînements de tir s'était matérialisé dans sa main. Il avait ouvert le feu et avait eut le temps de tirer sur quatre élèves avant d'être maîtrisé par les hommes chargés de la sécurité. Charlie avait soudainement perdu pieds et s'était retrouvée à genoux, pliée en deux, suite à une douleur sourde qui provenait de son épaule gauche. Charlotte et Christie s'étaient alors tue et pour la première fois depuis longtemps, Charlie s'était retrouvée seule. La douleur s'était faite plus importante et elle avait sombré dans les ténèbres.
Lorsqu'elle s'était réveillée son premier geste avait été de porter la main à son épaule mais elle n'avait rien sentit. Sa peau était lisse. Elle avait passé plusieurs heures à méditer, écoutant Charlotte et Christie débattre de la véracité de ses souvenirs, quand un médecin entra dans la pièce. Là, il lui avait calmement expliqué qu'elle avait un pouvoir de type régénération et que cela expliquait ses troubles mentaux. Il avait été vraiment gentils avec elle. Aussi, lorsqu'on lui annonça qu'à partir de ce jour elle devrait se rendre à une consultation par jour elle avait été ravis. Il avait été plus qu'un docteur pour elle, il avait été un ami. Il l'avait toujours traité comme son égale, et lui avait expliqué certaines chose qu'elle n'aurait jamais envisagé. Il lui avait parlé de régime totalitaire, de démocratie, de dictature, de liberté. Ce dernier mot avait sonné à ses oreilles comme une formule magique. Elle n'avait pas compris tout de suite, mais il avait pris le temps de lui expliquer. Un jour il lui avait demandé si elle voulait connaître la liberté. Christie avait rigolé tendis que Charlotte ouvrait de grands yeux émerveillés. Alors Charlie avait juste souri. La liberté ça n'existait pas. Ce n'était qu'une histoire qu'il lui racontait. Comme les contes que sa maman lui lisait le soir avant d'aller au lit. Il avait aussitôt démentis ses propos. La liberté existait et il fallait se battre pour qu'elle continue d'être. Elle n'avait pas compris. Le lendemain, on l'avait convoqué dans le bureau du directeur. Des militaires armés étaient présents. On lui avait demandé de raconter ce que le docteur lui avait dit ces dernier mois. Alors elle avait raconté. Le directeur lui avait alors demandé ce qu'elle en pensait. Elle les avait regardé en fronçant les sourcils. Le docteur n'était pas là. Il était toujours là normalement. Charlotte s'était mise à pleurer alors que Christie avait simplement lâché un ''fils de pute''. Alors seulement Charlie avait compris. Elle avait donc répondu que s'il fallait se battre pour la liberté, alors la liberté n'était pas différente de l'armée. Elle avait aussi déclaré que Charlotte n'aimait pas beaucoup le changement et que Christie était pressée de partir sur le terrain, et que du coup elle préférait rester au service de l'armée. Elle pensait que ça leur suffirait. Cela leur avait suffit et ils l'avaient laissé partir. Elle n'avait plus jamais revu le docteur. Elle n'avait plus jamais repensé à ce mot: LIBERTÉ. Deux ans plus tard elle devenait numéro XIII.

► Pseudo : Amërys

► Comment avez-vous découvert le forum ? Complètement par hasard en cherchant un forum RPG sympa.

► Qu'en pensez-vous ? Le concept déchire, les graphismes sont simples et agréables. Ça me parait plutôt chouette.

► Codes du règlement : Codes validés par Hana.

► Célébrité sur l'avatar :Deborah François

Bienvenue !

Codes validés, il manque juste les images à mettre dans les deux carrés vides, mais ce n'est pas si important. Smile

Salutation , et belle schizophrénie ^^
Bon , bah vu que le travail de pré-validation a déjà été effectué par ma collègue , je rajouterais simplement que l'image doit être en 100x100
EDIT ( décidément les vacances m'ont ramolis ) : Ton avatar n'a pas la taille conforme de 200x320 ...
voila , encore Bienvenue !