Rosalie A. Clarkson

Description Physique

Cette partie est très difficile a remplir pour Rosalie. En effet, à cause de son pouvoir elle peut avoir presque toutes les apparences. Je vais donc vous décrire ce qui ne change jamais. Elle est mince, souple avec des mains blanches et agiles aux longs doigts fins. Difficile de la reconnaître avec seulement ça me direz vous? Oui, mais ce n'est pas tout. Une longue cicatrice court le long de son bras droit, qu'elle cache toujours sous des manches longues, y compris en plein été.
Le visage qu'elle a le plus souvent est celui d'une blonde bouclée aux yeux bleus, grande avec les sourcils fins, les cils noir et long et une bouche bien dessinée. Quand elle prend ce visage, elle donne souvent son vrai nom.
Quand elle en a besoin, elle prend le visage d'une blonde avec des anglaises, le nez et les pommettes couverts de taches de rousseur, la peau blanche, les yeux brun et en amande. Elle donne alors pour nom Zoé.
Son apparence préféré est toute différente. Elle est...effrayante. C'est celle de Aryala, le nom qu'elle s'est donné. Les cheveux noirs aux reflets rouges, les yeux noirs sans iris, la peaux d'une pâleur effrayante, les lèvres fines découvrant des dents blanches aux canines longues.
Elle peut prendre bien d'autres apparences, mais ces trois là sont ces 'préférés'. La première pour sa beauté qui attirait les hommes, la deuxième pour son air 'mignonne' qui donnait l'impression qu'elle était douce innocente, et la dernière parce qu'elle inspire la terreur.

Caractère

Le caractère de Rosalie? Elle est froide, calculatrice, détachée. Détachée au point de ne plus ressentir aucune émotion la plupart du temps. Son esprit, débarrassé de la tyrannie des sentiments, est toujours clair, vif, redoutablement intelligent. Elle est donc patiente, décidé sans être entêtée, méfiante et antipathique. Elle est maîtresse dans l'art de faire croire qu'elle a une certaine émotion -ayant passé des années de son existence à observer les réactions humaines- mais elle son manque d'émotion est parfois aussi un handicap, car elle ne peut envisager certaines réactions. Elle ne connait pas (encore?) l'amour, ni l'amitié. Il lui arrive bien sûr de rester avec des personnes, de jouer "l'amie", pour voir si elle peut ressentir de l'amitié, mais elle garde toujours cette froide distance avec les personnes et les évènement, qui l'empêche d'aimer. Et depuis peu, elle a cessé d'essayer, décidant que c'était inutile. Et surtout quel n'en avait pas besoin, elle avait bien mieux. En effet, elle avait découvert avec l'incendie (voir histoire) le plaisir de se venger et de faire souffrir. Quand elle blessait ou tuer quelqu'un, qu'on la regardait avec effroi, elle avait une émotion. Le plaisir de voir souffrir. Et d'assouvir sa haine des humains normaux. Elle aime tant ce sentiment( et c'est la seule chose qu'elle aime) qu'elle fait tout pour le ressentir. Jamais aucun remord ne lui vient, la culpabilité n'a pas de prise pour elle. Comme les autres émotion, ce n'est qu'un petit mot avec lequel elle étiquette parfois les réactions des gens.
Elle a aussi une excellente mémoire, gardant dans son esprit lucide des souvenirs clairs.

Histoire

Du plus loin dont elle se souvienne, Rosalie a vécu dans un orphelinat, l'Orphelinat St Thèrese des Malheureux. Le nom était à la hauteur de l'établissement. Des orphelins, qui était dans cette situation pour des raisons diverses, vivaient là sans grand aide ou amour. Ils étaient pour ainsi dire laissés à eux même, avec quelques surveillantes et un ou deux professeurs. Les journés là bas étaient monocorde, longues et lassantes. Le matin, les enfants avaient cours, avec des professeurs aussi ennuyés que leur élèves, et l'après midi était consacrés au sport. Ce qui voulaient dire que les gamins avaient une balle et deux paniers, et pouvaient faire ce qui voulaient sous la surveillance distraite d'un adulte.
Les cours avaient d'abord intéressé Rosalie, qui voyait là des choses qui pourraient lui être utile. Elle apprenait bien, n'étant pas distraite par une envie de s'amuser. Mais elle avait vite compris que cela ne lui serait pas utile, et avait donc passé ensuite ses mâtinés à essayer de trouver quelque chose d’intéressant à faire, elle cherchait encore avidement de quoi se donner des émotions. À environ 12 ans, elle trouva comment, en se tailladant le bras. Mais on avait rapidement retiré tout objet tranchant de sa portée, et elle avait du trouver autre chose. Elle avait ensuite fait des choses dangereuses, comme se jeter de la fenêtre du dortoir du première étage. Mais après avoir passé un mois à l'hôpital, elle décida que le jeu n'en valait pas la chandelle. Elle ne trouva rien de nouveau, jusqu'à un certain jour. Depuis longtemps, le orphelins avaient remarqué qu'elle pouvait changer d'apparence, même si elle évitait de le faire, préférant garder un visage d'enfant sage, ressemblant à celui de Zoé. Mais les enfants la détestait pour cette différence, ce qui au début n'avait fait ni chaud ni froid à Rosalie. Mais en grandissant, la haine craintif des orphelins avait changé. Ils commencèrent à lui faire des mauvais tours, qui au début ne lui firent rien. Elle fini plusieurs fois chez la directrice à cause de cela, e avait beau lui expliquait simplement qu'elle n'avait rien et que ce n'était qu'un piège, cette dernière ne l'aimait pas, à cause de sa froideur inhabituelle pour un enfant. Mais elle ne s'en inquiétait pas, et se fichait d'être collée en retenue ou d'avoir des punitions à faire, au moins cela l'occupait. Mais un jour cela tourna en un jeu plus dangereux. Les enfants venaient la défier, l'humilier. Un jour, alors qu'elle avait 16 ans, voyant que sa vie ne s'améliorerai pas autrement, elle s'énerva (ou plutôt fit semblant, elle était toujours calme et lucide dans sa tête) contre un des garçons qui se moquait d'elle. Elle l'insulta copieusement -c'était ainsi qu'on s'énervait d'après ce qu'elle avait vu- et parmi ces insultes, elle déclara qu'il était faible, et, curieusement, cela le fit le plus tiquer. Il sortit un couteau suisse et la menaça. Elle lui fit remarquer que c'était lâche de s'attaquer à une personne désarmée, et il se jeta sur elle -alors qu'elle attendait la réaction contraire. Il lui taillada profondément tout son bras droit puis s'arrêta, se rendant compte de ce qu'il avait fait. Rosalie sentait son bras lui brûlait, mais elle mit cette émotion dans un coin de sa tête. D'un geste de sa main gauche -elle est gauchère- elle arracha le couteau suisse de son agresseur, et lui rendit la pareille. Elle voulait ainsi prouver qu'il ne fallait pas la chercher, mais étrangement, cela l'amusa de voir les larmes montaient aux yeux du garçon et de l'entendre pousser un plainte. Elle allait de nouveau le blesser quand un surveillant arriva en courant. Aussitôt il décida qu'elle était seule coupable et lui cria qu'elle était dangereuse, folle, cruelle, et bien d'autres choses. Quand elle put parler, Rosalie lui dit simplement qu'elle souffrait et avait besoin d'être soigné, tout comme l'autre. Son clame et sa froideur énerva encore plus l'adulte mais il dut se rendre à l'évidence et appela un médecin. Celui s'occupa d'abord du garçon, sous le conseil de l'adulte, puis de Rosalie. Mais la blessure mit très longtemps à se refermer et elle garda toujours sa cicatrice, preuve à ses yeux de sa haine pour les humains. En effet, tous les élèves avaient soutenu que c'était elle qui avait avait agressé le garçon. Cette histoire faillit la faire finir en prison, mais elle réussit à s'en sortir avec des mensonges et des excuses -la vérité n’intéressait personne. À partir de ce moment là on la craint et elle eut la paix jusqu'au rétablissement de son agresseur. Il n'avait pas oublié et il voulu se venger. Rosalie le comprit et chercha un plan pour s'en sortir. Et elle en trouva un parfait. Qui lui permettait de s'enfuir de cet orphelinat qu'elle haïssait et de pouvoir retrouver le plaisir de faire souffrir. Une nuit d'été, elle sortit sans bruit du dortoir et alla jusqu'à la réserve. À cet endroit elle trouva du pétrole et d'autres produits extrêmement inflammables. Pendant une heure, elle en mit généreusement devant les portes des dortoirs en faisant une piste pour que les flammes à travers tous l'orphelinat. Puis elle alla jusqu'au disjoncteur du bâtiment et l'arrosa lui aussi. Il s'enflamma dès que Rosalie alluma une lampe, et elle sortit en courant, tout en faisant attention à faire le moins de bruit possible, pour ne réveiller personne. Elle s'assit sur un banc dans le jardin public en face de l'orphelinat et avec un sourire regarda le bâtiment s'embraser peu à peu. Bientôt elle entendit des cris et un sourire fendit son visage. Un visage effroyable, celui d'Aryala. Chaque cri la faisait rire et elle se sentait étonnement vivante, devant la mort qui s'emparait de ces camarades. Elle resta là jusqu'au première lueur de l'aube. Aucun pompier ne la vit, trop occupé à essayer de maîtriser le brasier. Quand l'orphelinat ne fut plus qu'un tas de cendres mouillés, elle se leva, se donna le visage d'une adulte sèche et partit. Depuis, elle hère aux Etats-Unis, vivant de vols. Et torturant et tuant dès qu'elle le pouvait, pour le plaisir qu'elle ressentait quand elle le faisait.

► Pseudo :Sun ► Comment avez-vous découvert le forum ?Par le parto d'UBTF ► Qu'en pensez-vous ?Super histoire, mais vous devriez peut être l'expliquer un peu plus parce que ce n'est pas très clair. ► Codes du règlement : < Codes partis en fumée > ► Célébrité sur l'avatar : euh... je fait comment? bon je vais faire un kit avec Taylor Swift (pour le visage 'Rosalie')